Demande biologique en oxygène

Quantité d'oxygène nécessaire pour oxyder les matières organiques (biodégradables) par voie biologique (oxydation des matières organiques biodégradables par des bactéries). La demande biologique en oxygène (DBO) est un indice de pollution de l'eau qui permet d'évaluer la fraction biodégradable de la charge polluante carbonée des eaux usées, et est en général calculée au bout de 5 jours à 20°C et dans le noir : on parle alors de DBO5.
d'après Kristian Benoit (naturaliste)
technique
Biologie;Eau et assainissement;Pollutions
Demanda biológica de oxígeno [es];Biological oxygen demand [en]

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Le triptyque de la cybersécurité pour protéger les objets connectés

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Selon un rapport publié en février 2021 par l’OCDE, les objets connectés présentent souvent un niveau de cybersécurité insuffisant. Les failles de sécurité peuvent apparaître au cours des différentes étapes du cycle de vie du produit.

Ce rapport met en évidence les raisons de ces insuffisances : un manque d’incitation à intégrer l’aspect sécurité à la conception de l’objet, une répartition floue des responsabilités et un manque de coopération entre les constructeurs ou prestataires et les institutions.

Ludovic Pertuisel, Product Manager chez Lacroix, nous explique comment Lacroix intègre la cybersécurité dans la conception de ses produits connectés.

Pour Lacroix, la cybersécurité repose sur un triptyque incontournable autour de la donnée : Authenticité – Intégrité – Confidentialité.

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Anticiper les risques industriels liés à la qualité de l’eau avec la solution d’analyse en temps réel d’Extralab

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Dans les instituts de recherche du Monde entier, analyser la qualité de l’eau en temps réel est un véritable enjeu qui répond à des questions scientifiques.
C’est de cette problématique qu’a émergé le projet d’ExtraLab : Et si à l’aide d’un laboratoire de terrain et d’un puissant logiciel online, il était possible de ne plus jamais attendre ses résultats d’analyse et de prévoir l’évolution de son eau ? Tout cela en décentralisant le travail du laboratoire.

C’est en 2014, que ce projet en collaboration avec notamment CNRS, l’IPGP, l’INRAE d’Antony et de Rennes, l’Université de Strasbourg et d’autres instituts scientifiques partenaires a abouti.

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